Ces chuchotements laissés au hasard, ces encouragements pour me hisser au-delà des façades, ces clins d'oeil épistolaires, ces petites douceurs à propos de rien, à propos de mes phrases d'un instant, ces portes ouvertes toujours à sourire déployé.
Au gré de ces articles je me suis constitué un habitat virtuel, une petite cabane en coquelicots et en photos de Doisneau, qui ne prétend à rien mais qui a gagné beaucoup.
Chaque petit message posté ici ouvre un peu plus grand les parenthèses, et les plus petites attentions sont des pulsations d'aile.
Merci, de me soulever un peu du sol quand j'oublie que la brise est légère, de me donner la main d'aussi loin pour ériger entre nous des ponts en pâte à sel.
Merci, de me raccrocher comme ça un peu au monde, de ne pas nous laisser ainsi, mes pages et moi, dépérir dans le silence et l'oubli.
Au gré de ces articles je me suis constitué un habitat virtuel, une petite cabane en coquelicots et en photos de Doisneau, qui ne prétend à rien mais qui a gagné beaucoup.
Chaque petit message posté ici ouvre un peu plus grand les parenthèses, et les plus petites attentions sont des pulsations d'aile.
Merci, de me soulever un peu du sol quand j'oublie que la brise est légère, de me donner la main d'aussi loin pour ériger entre nous des ponts en pâte à sel.
Merci, de me raccrocher comme ça un peu au monde, de ne pas nous laisser ainsi, mes pages et moi, dépérir dans le silence et l'oubli.
J'aimerais te raconter le soleil, j'aimerais te raconter mon sourire d'il y a un peu plus d'une heure, j'aimerais te raconter ses mots.
Je t'envoie des baisers... (k)