Les dimanches soirs.
Cette litanie...
J'égrène ces seize jours comme on égrène un chapelet. Méthodiquement, avec beaucoup de concentration, et presque de recueillement.
Je repense à ces réveils tardifs à végéter sur l'oreiller, à la fête chez ma guerrière et à notre virée culturelle, après un thé à la bergamote. A mes cinq jours à Madrid, aux zones de turbulence dans l'avion, à notre frayeur dans l'aéroport, au maître d'hôtel craquant, au chocolat fondu hypercalorique, aux churros du petit-déjeuner, au conte de la princesse Raiponce, aux frissons la nuit dans les ruelles, à nos pieds endoloris le soir, au concert de jazz, aux repas olives-saucisson devant les clips. A mes trois petits-cousins, à la naissance de Lola et Mathilde, à l'anniversaire de maman, aux films avec ma soeur, à la soirée chez Julie, à mes lunettes et à ma nouvelle coupe.
Cette litanie...
J'égrène ces seize jours comme on égrène un chapelet. Méthodiquement, avec beaucoup de concentration, et presque de recueillement.
Je repense à ces réveils tardifs à végéter sur l'oreiller, à la fête chez ma guerrière et à notre virée culturelle, après un thé à la bergamote. A mes cinq jours à Madrid, aux zones de turbulence dans l'avion, à notre frayeur dans l'aéroport, au maître d'hôtel craquant, au chocolat fondu hypercalorique, aux churros du petit-déjeuner, au conte de la princesse Raiponce, aux frissons la nuit dans les ruelles, à nos pieds endoloris le soir, au concert de jazz, aux repas olives-saucisson devant les clips. A mes trois petits-cousins, à la naissance de Lola et Mathilde, à l'anniversaire de maman, aux films avec ma soeur, à la soirée chez Julie, à mes lunettes et à ma nouvelle coupe.
A partir de maintenant ma vie monacale reprend, mais qui donc me sortira de ma tour, moi qui n'ai pas les cheveux longs ?